Pour débuter le rattrapage de salaire

Renault a jusqu’au 31 octobre pour négocier sur la prime dite « sur les dividendes » promise par Sarkozy. Cette prime, exonérée de cotisations sociales jusqu’à 1200 € par salarié, n’est obligatoire que pour les entreprises de plus de 50 salariés qui ont versé des dividendes supérieurs aux deux années précédentes. Mais le gouvernement n’a fixé aucun minimum. A Securitas, les patrons ont eu le culot de proposer 3,50 € !
Avec 1,25 milliards d’€ de bénéfices au 1er semestre 2011 et 11 autres en trésorerie, la direction de Renault a les moyens de verser la prime maximum. Ce ne serait qu’une petite partie de ce qu’elle doit aux salariés.

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