Carlos Ghosn reporterait le versement de 30 % de sa part variable perçue chez Renault au titre de 2012. Il empocherait cette somme en 2016 seulement si l’accord de compétitivité est respecté. Mais il faudrait d’abord que des syndicats le signent.
Ghosn mise donc 430 000 €, soit 3 % de sa rémunération Renault-Nissan de 13,3 millions. Des cacahuètes, sans commune mesure avec l’impact de cet accord sur les salariés et sur l’emploi.