La succession et l’ampleur des débrayages contre son projet d’accord de compétitivité ont obligé la direction à revenir en arrière sur les détachements intersites. Le 29 janvier, elle annonçait la création d’un observatoire afin de « veiller aux situations individuelles ». Le 5 février, elle promettait que les détachements obligatoires seraient limités à la durée de l’accord. Enfin le 12 février finalement, elle déclarait qu’ils resteraient au volontariat comme c’est le cas aujourd’hui.
Un premier recul. Mais pour le reste, rien de neuf. On sait ce qu’il reste à faire.