Lors du précédent Observatoire de l’Emploi et des Compétences de mai 2013, la direction a annoncé clairement que « les activités non cœur de métier seront confiées à des partenaires extérieurs de bon niveau, tout en maintenant et développant des compétences internes assurant la maîtrise des engagements pris. » L’accord compétitivité Renault prévoit ainsi d’externaliser, dans l’Ingénierie, l’activité exercée aujourd’hui par 1 000 salariés. Et que deviennent les salariés en question ? Mystère.