Avec 51,2 milliards d’euros en 2016, le chiffre d’affaires du groupe Renault (c’est-à-dire l’ensemble de ses ventes) se place au-dessus du PIB de pays comme la Bulgarie, le Luxembourg, la Tunisie ou l’Uruguay (le Produit Intérieur Brut mesure la valeur totale des richesses produites dans un pays).
Sa puissance économique permet à Renault de faire jeu égal avec des Etats, et d’imposer ses volontés. Une puissance qui doit servir la collectivité (salariés, population) au lieu d’intérêts privés (actionnaires)