La direction voudrait nous faire croire que Renault « s’en sort mieux » que PSA car l’entreprise aurait su prendre à temps le « tournant de la mondialisation ».
Pourtant avec le PRV, la GPEC et le blocage des embauches, les effectifs de Renault Sas sont passés de 44 000 salariés en 2005 à 36 000 en 2011 (alors que PSA compte 100 000 salariés en France). Et ce n’est pas fini. Pas de quoi se vanter donc.
Les salariés de Renault auraient au contraire toutes les raisons de se mobiliser avec ceux de PSA.