« L’Europe se prépare à un fort rétablissement », selon Ghosn. Les marchés émergents régressent alors que le marché européen a cru de 8,2 % au premier trimestre 2014. Les ventes de Renault y progressent même de +17,7 %. Dans le reste du monde, celles-ci baissent de 7,9 %, voire de 30 % en Asie-Pacifique.
La baisse du marché Européen avait servi de prétexte à la direction de Renault pour imposer des accords dits de « compétitivité » en France et en Espagne. Cette baisse étant passagère, il n’y a pas de raison que les sacrifices imposés aux salariés continuent.