La direction rabâche que Renault aurait été « sauvé » grâce à l’accord compétitivité de 2013. Sauvés, les profits et les dividendes ? C’est sûr ! Au prix du gel des salaires, de la suppression de 7000 emplois, de la dégradation des conditions de travail et de l’explosion de la précarité.
C’est la même rengaine pour la Sécu ou les Retraites. A force d’être sauvées, on travaille plus, les prestations sociales baissent et les inégalités augmentent. Ces sauvetages ne font qu’aggraver la situation.