Selon sa directrice, la Répression des fraudes a déclenché des perquisitions au Technocentre, à Lardy et au Siège en janvier 2016 car les explications fournies par la direction de Renault sur les niveaux d’émissions de ses véhicules n’étaient pas probantes.
L’analyse des documents recueillis au cours de ces perquisitions continue et de nouvelles auditions doivent avoir lieu. Il va falloir être plus convaincant