2,4 milliards d’euros de bénéfices au premier semestre 2017 ! Heureusement que les accords de compétitivité ont soi-disant sauvé Renault, car on frôlait la faillite… Alors que les conditions de travail se dégradent et que les salaires sont quasiment gelés depuis 2013, les hauts dirigeants de Renault se gavent de stock-options ou d’actions gratuites, et les gros actionnaires de dividendes. Des milliards qui proviennent du travail des salariés Renault et prestataires dans les usines ou les bureaux, des contrats précaires, de la flexibilité imposée, etc. Raison de plus pour réclamer notre dû !