Un technicien de Renault Douai s’est suicidé chez lui le 23 août. Il a laissé une lettre dans laquelle il met en cause Renault et un cadre dirigeant de l’usine. En plus des cadences passées de 47 à 60 véhicules heure, des samedis travaillés, d’un allongement des journées de travail, des syndicats accusent un management par la répression et les menaces.
La famille porte plainte. Un autre suicide a eu lieu dans le même secteur il y a un an. Suicides, burn-outs… C’est ça « l’usine du futur » que la direction construit avec ses accords de compétitivité ?!