Fin octobre 2013, Stéphanie, une jeune ingénieure des Labos, recevait une lettre de mise à pied avant licenciement. Quelques jours après, elle se suicidait en se jetant d’un train. L’enquête de l’inspection du travail a conclu à une « sanction professionnelle » relevant d’une « discrimination à raison de l’état de santé ». Une infraction relevant du code pénal et passible de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende. La suite dépend désormais du procureur de la République de Versailles.