
La Cour des Comptes s’en prend à la gestion par le gouvernement de ses participations dans les entreprises. Et Macron en prend pour son grade : l’augmentation de la part de l’État dans le capital de Renault, payée au prix fort,…
C’était juré : le gouvernement allait légiférer suite au scandale du salaire de Ghosn, maintenu malgré le vote négatif des actionnaires de Renault. Seulement il n’y aura pas de loi spéciale, juste un amendement à une loi examinée en ce…