Constantin Stroe, vice-président de Dacia Automobile, a menacé les salariés de Pitesti qui ont fait grève les 20 et 21 mars dernier : « s’ils continuent leurs exigences irréalistes, il y a une grande possibilité qu’une partie significative de la production soit transférée au Maroc », où les salaires seraient deux fois moins élevés qu’en Roumanie.
Un chantage qui en rappelle d’autres ici en France.