500 salariés de Cléon ont débrayé vendredi dernier en mémoire de leur collègue de 35 ans qui s’est pendu dans son atelier en début de semaine.
Cédric a laissé deux lettres, dont une adressée à la direction faisant référence à « la peur, l’incertitude de l’avenir ». « Merci Renault. Merci pour ces années de pression. » Après avoir nié tout rapport avec son travail, la direction de Cléon exprime son « incompréhension » : c’est pourtant clair !