Un acharnement nauséabond

La cour d’appel de Versailles a confirmé la reconnaissance en accident du travail du suicide de Raymond, ETAM au TCR en passage cadre. Avant de se pendre chez lui en 2007, il avait écrit : « Je ne peux plus rien assumer, ce boulot c’est trop pour moi, ils vont me licencier et je suis fini. »

Comme pour Antonio, la direction de Renault avait fait appel. Un acharnement judiciaire qui se retourne une nouvelle fois contre elle.

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