La Caisse Primaire d’Assurance Maladie vient d’estimer que « l’imputabilité » de la mort d’un technicien de la Direction Après-Vente, qui s’était pendu dans des toilettes du Plessis-Robinson en septembre 2014, revient à Renault. Elle a classé ce suicide comme Accident du Travail, malgré un recours de la direction pour qui « aucun élément ne permet d’établir » que ce suicide est lié au travail. Selon l’enquête de la Sécu, ce collègue avait pourtant des problèmes avec sa hiérarchie, et l’ambiance de travail était délétère. Tant que Renault sera dans le déni, il y a peu de chance que ça change.